Qu'il est doux de voir ce soit-disant parangon de vertues républicaine la mine défaite, l'oeil éteint , la morgue insupportable de ce petit prétentieux qui croyait représenter le peuple (encore un!), envolée comme des tract perdus de la CGT.
Alors Mélenchon ou est passé ta vindicte haineuse contre tous ceux qui ont l'outrecuidance de ne pas être avec toi ?
On croyait s'envoler vers les cieux élyséen?
Et on se retrouve non troisième homme mais quatrième perdant !
Mélenchon a l'ego tellement démesuré qu'il a pas supporté d'être chassé du buffet garnit par la blonde de France .
Mais comment allait il faire pour s'en mettre plein les poches, comme il l'avait fait depuis 35ans?
Alors plein de haine et de rancoeur , le petit magouilleur franc-maçon pseudo père du peuple a voulu la terrasser , croyant que le peuple (cet imbécile) croirait encore a la propagande que toute la gauche lui sert depuis bientôt 40ans: Attention aux fasciste racistes antisémites et pedonazi !!
Le problème de Mélenchon , c'est le peuple. Car le peuple s'est mis a penser (enfin un peu, faut pas trop poussé quand même), finit de croire a l'immigration sans limite, fond de commerce de la gauche et de l'extrême gauche. Finit de croire que la délinquance "c'est la faute a la société". Finit de croire aux lendemains qui chante. Finit le métissage forcé voir forcené qui rend heureux. Finit la merveilleuse Europe dont Mélanchon se gargarisait des vertues dans de vieilles images d'archive. Finit de croire que quelqu'un qui gueule des insanités très fort dans un micro a forcement raison et peut devenir chef.
Finit Mélenchon.
Pas un poste de ministre, ni un petit secrétaire d'état a quelque-chose, "et la c'est le drame": même pas député.
Angoisse et rage.
E finita la comedia Mélenchon.
Tous le monde t'a vu comme tu était, un petit être pathétique, méchant et rongé par la rancoeur de ne pas avoir l'importance qu'il s'est donné lui même.
Mélenchon est comme beaucoup a l'extrême gauche, un idiot utile du libéralisme, tel un Besancenot ou le ridicule Poutou, il finira dans les oubliette de la politique.
Comme un présage de sa mise aux rebuts, ou de sa mise a mort, la façon dont il est traité, a la fois par les socialistes qui l'on "bien baisé" et l'attitude hautaine et misérable de ces chiens de journalistes, qui confirme ce fameux adage journalistique: on LECHE on LACHE on LYNCHE .
on LECHE on LACHE on LYNCHE c'est ça le journalisme, quel belle profession que voila.